Depuis que sa mère l'a abandonnée dans une fête foraine à l'âge de trois ans, la vie d'Azalea Lewis a été marquée par une série de coïncidences malheureuses que la jeune femme attribue au destin. Convaincue qu'elle risque de mourir bientôt, elle se décide à consulter un expert en matière de probabilités. Mais lorsqu'elle pénètre dans le bureau du Dr Thomas Post, elle reconnaît l'homme sur qui elle est tombée la semaine précédente lors d'une collision dans un escalier roulant du métro londonien...
Après avoir lu "Sans oublier la baleine", je me suis jetée sur les deux romans précédents de John Ironmonger, et en découvrant l'argumentaire de celui-ci, je me suis souvenue l'avoir examiné à l'époque de sa sortie. J'ai toujours été passionnée par les calculs de probabilités et la différence entre corrélation et causalité (qui reste un de mes grands cheveux de bataille aujourd'hui encore). Mais je me suis également souvenue de la raison pour laquelle je ne l'avais pas acheté sur le coup: une bonne partie de l'action se déroule en Ouganda pendant une guerre civile assez atroce, et ça, par contre, ça me rebutait très fort.
Au final, ce qui m'a le plus dérangée dans le roman, ce ne sont pas les scènes qui se déroulent en Afrique mais l'histoire d'amour entre les deux héros, parce qu'elle est ultra-prévisible et n'apporte pas grand-chose à un ouvrage dont les autres thèmes étaient assez riches et originaux pour se suffire à eux-mêmes. J'ai aimé la façon dont le passé étonnant d'Azalea est reconstitué petit morceau par petit morceau, presque comme dans un thriller, et les arguments rationnels avec lesquels Thomas contre ses croyances tout au long de leur enquête commune. L'un dans l'autre, j'ai eu l'impression que l'auteur essayait de caser un peu trop de choses différentes dans la même histoire, mais "Le génie des coïncidences" ne m'a pas du tout déplu, loin de là.
Après avoir lu "Sans oublier la baleine", je me suis jetée sur les deux romans précédents de John Ironmonger, et en découvrant l'argumentaire de celui-ci, je me suis souvenue l'avoir examiné à l'époque de sa sortie. J'ai toujours été passionnée par les calculs de probabilités et la différence entre corrélation et causalité (qui reste un de mes grands cheveux de bataille aujourd'hui encore). Mais je me suis également souvenue de la raison pour laquelle je ne l'avais pas acheté sur le coup: une bonne partie de l'action se déroule en Ouganda pendant une guerre civile assez atroce, et ça, par contre, ça me rebutait très fort.
Au final, ce qui m'a le plus dérangée dans le roman, ce ne sont pas les scènes qui se déroulent en Afrique mais l'histoire d'amour entre les deux héros, parce qu'elle est ultra-prévisible et n'apporte pas grand-chose à un ouvrage dont les autres thèmes étaient assez riches et originaux pour se suffire à eux-mêmes. J'ai aimé la façon dont le passé étonnant d'Azalea est reconstitué petit morceau par petit morceau, presque comme dans un thriller, et les arguments rationnels avec lesquels Thomas contre ses croyances tout au long de leur enquête commune. L'un dans l'autre, j'ai eu l'impression que l'auteur essayait de caser un peu trop de choses différentes dans la même histoire, mais "Le génie des coïncidences" ne m'a pas du tout déplu, loin de là.
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