Mathilde est atteinte d'une maladie rare qui l'empêche de reconnaître les visages et qui risque de lui faire perdre son emploi dans un palace parisien. Barbara, elle, aime faire plaisir à son entourage, quitte à enfreindre la loi. Lorsqu'elles se rencontrent dans la salle d'attente de leur psy, leur amitié est immédiate, et Mathilde fait embaucher Barbara au palace pour l'aider à conserver son poste. Barbara sera les yeux de Mathilde et Mathilde la conscience de Barbara. Et elles ne seront pas trop de deux pour découvrir ce qui, la nuit, hante les couloirs déserts du palace...
Alléchée par cette quatrième de couverture, j'ai acheté "Folle cuisine" sans jamais avoir entendu parler ni de ce titre en particulier, ni de son auteur en général. Quand je fais ça, j'ai une bonne surprise à peu près une fois sur trois. Là, clairement, on était dans les deux tiers statistiques restants. D'originale, j'ai trouvé que l'histoire devenait de moins en moins crédible et surtout très confuse, avec une fin en queue de poisson qui m'a laissée frustrée. Les dessins sont agréables, mais le découpage et la mise en page horriblement conventionnels alors que les rêves hallucinés de Mathilde auraient pu se prêter à toutes les fantaisies. Bref, une bonne idée mal exploitée.
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