
Les dominantes roses, rouges et oranges qui frappent le regard lorsqu'on ouvre cet album forment un contraste audacieux avec la noirceur du scénario de Daniele Vessella. Beatrice Penco Secchi aurait pu réaliser une bédé toute en ombres; elle a choisi au contraire de faire exploser ses couleurs à chaque case, et elle a bien fait. Si vous aimez les atmosphères victoriennes, les psychodrames grinçants, les costumes travaillés et les grands yeux des héroïnes de manga, "Lady Doll
" devrait vous plaire. Mais pour connaître la suite et le dénouement de cette tragédie aux portes de la folie, il vous faudra attendre la parution du tome 2.
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