Agée de 24 ans, Amina Mazid quitte le Bangladesh où elle est née et où elle a grandi pour épouser George Stillman, un Américain rencontré sur Internet. Même si elle ne lui en a pas encore parlé, son plan consiste à faire venir ses parents aux Etats-Unis dès qu'elle aura obtenu la citoyenneté américaine. Mais George, issu d'une autre culture, est hostile à l'idée de faire cohabiter plusieurs générations sous le même toit.
Pendant qu'Amina s'adapte à sa nouvelle vie et entreprend un long travail de sape auprès de son époux, deux choses vont venir bouleverser ses projets: d'abord, elle découvre que George était amoureux d'une autre femme à l'époque où ils se sont connus, et qu'il pourrait bien l'être encore. Puis, George perd l'emploi duquel dépendaient tous ses projets... Malgré tout, Amina s'obstine et finit par retourner au Bangladesh chercher ses parents. Elle y retrouve un garçon qu'elle aimait autrefois, et à qui elle avait failli être promise. Pour lui, remettra-t-elle en cause la vie qu'elle a si soigneusement planifiée et pour laquelle elle s'est tant battue?
Après l'excellent "Une bonne épouse indienne", ça m'intéressait de lire un autre roman sur le thème d'une union interculturelle racontée du point de vue de la personne immigrée. Si la première partie, qui se déroule aux USA et s'étale sur une période de trois ans, a bien répondu à mes attentes, la deuxième, qui transporte le lecteur au Bangladesh et enchaîne les événements sur moins d'un mois, m'a tout d'abord désarçonnée. Le mari américain n'était plus qu'une présence lointaine, tandis que l'accent se déplaçait sur le rapport d'Amina à sa famille et à son pays d'origine. Puis, aidée par la plume habilement évocatrice de Nell Freudenberger, je me suis laissée prendre aux questionnement intérieurs de l'héroïne, absorber par les méandres de sa culture si différente de la mienne en tous points. Mais bien qu'elle entérine parfaitement le choix d'Amina, la fin laisse en suspens beaucoup de questions auxquelles j'aurais aimé avoir une réponse, et c'est un peu frustrée que j'ai refermé "The newlyweds".
Pendant qu'Amina s'adapte à sa nouvelle vie et entreprend un long travail de sape auprès de son époux, deux choses vont venir bouleverser ses projets: d'abord, elle découvre que George était amoureux d'une autre femme à l'époque où ils se sont connus, et qu'il pourrait bien l'être encore. Puis, George perd l'emploi duquel dépendaient tous ses projets... Malgré tout, Amina s'obstine et finit par retourner au Bangladesh chercher ses parents. Elle y retrouve un garçon qu'elle aimait autrefois, et à qui elle avait failli être promise. Pour lui, remettra-t-elle en cause la vie qu'elle a si soigneusement planifiée et pour laquelle elle s'est tant battue?
Après l'excellent "Une bonne épouse indienne", ça m'intéressait de lire un autre roman sur le thème d'une union interculturelle racontée du point de vue de la personne immigrée. Si la première partie, qui se déroule aux USA et s'étale sur une période de trois ans, a bien répondu à mes attentes, la deuxième, qui transporte le lecteur au Bangladesh et enchaîne les événements sur moins d'un mois, m'a tout d'abord désarçonnée. Le mari américain n'était plus qu'une présence lointaine, tandis que l'accent se déplaçait sur le rapport d'Amina à sa famille et à son pays d'origine. Puis, aidée par la plume habilement évocatrice de Nell Freudenberger, je me suis laissée prendre aux questionnement intérieurs de l'héroïne, absorber par les méandres de sa culture si différente de la mienne en tous points. Mais bien qu'elle entérine parfaitement le choix d'Amina, la fin laisse en suspens beaucoup de questions auxquelles j'aurais aimé avoir une réponse, et c'est un peu frustrée que j'ai refermé "The newlyweds".
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