
En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljòtur part sans le savoir à la rencontre d'Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre Eden oublié du monde et gardé par un moine cinéphile."
Très jolie surprise que ce premier roman de l'auteur islandaise Audur Ava Olafsdòttir, extrêmement bien traduit par Catherine Eyjòlfsson. L'écriture coule comme un ruisseau, avec la même limpidité et la même fraîcheur; quant à l'histoire, elle allie simplicité et poésie. Grâce à "Rosa candida", j'ai passé quelques heures merveilleusement lumineuses qui m'ont donné envie, après mon coup de coeur pour Katarina Mazetti il y a deux ans, de m'intéresser davantage à la production littéraire nord-européenne. Si vous avez des auteurs ou des titres à me suggérer...
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