
La ressemblance, hélas, s'arrête là. Alors que dans "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes", les indices étaient distillés au compte-gouttes, avec une montée croissante de l'horreur, dans "La Princesse des glaces
Mais le pire de tout, c'est la traduction française. Certes, je ne parle pas suédois; je suis cependant capable de reconnaître des phrases lourdes et mal construites, surtout quand il n'y a quasiment que ça sur près de 400 pages. J'ai passé toute ma lecture à raturer mentalement chaque page, à biffer des mots au feutre rouge, à corriger des erreurs de syntaxe et à tracer dans la marge de grandes points d'exclamation stupéfaits. Actes Sud m'avait habituée à mieux, et je me félicite de n'avoir pas investi directement dans le coffret paru à l'occasion des fêtes de Noël.
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